Imaginez un artiste avec la virtuosité de Jaco Pastorious, la fluidité vocale de George Benson, le sens du chant et de l’harmonie de Joao Gilberto, mélangez le tout à la culture africaine et vous obtenez Richard Bona, un bassiste de talent qui vient tout juste de se payer le luxe d’ouvrir un club-restaurant à la Seine Musicale. Après le Bonafide à New-York, l’artiste parie sur la capitale pour son Nubia. Consacré essentiellement au jazz (mais pas que), le club se veut un un lieu de vie, de convivialité, de restauration de qualité et de musique jusqu’au bout de la nuit pour animer tout l’ouest parisien. Un retour à l’essentiel choisi pour qualifier l’endroit qui propose une carte aux saveurs méditerranéennes et une programmation Jazz en semaine ponctuée par du classique pour le brunch dominical. Niché à la pointe de l’équipement culturel, le Nubia regroupe un restaurant, un bar, une terrasse outdoor et une salle de concerts d’exception, le tout pouvant accueillir 150 personnes 6 jours sur 7.
Le lieu a été inauguré le 15 mars dernier en présence de Manu Katché. En avril, sont déjà annoncés le pianiste Jacky Terrasson et la chanteuse China Moses. Bona jouera également au Nubia les 24 et 25 avril avant de repartir sur la route : Orléans, l’Allemagne puis la Pologne..on the road again et bonne chance au Nubia.
© O. Ravoire / Conseil départemental des Hauts-de-Seine
© Willy Labre / Richard Bona
© Willy Labre / Manu Katché
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Site Internet du Nubia