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Le domaine de Villarceaux

Au commencement, il y eut le jardin d’Eden. La tradition le situe en Mésopotamie. Il était lieu de paix et de plaisirs, de fécondité et de fragrances, enchanté par la musique de l’eau et des rires. Voltaire conclut son Candide d’un célèbre « il faut cultiver son jardin », personnel sans nul doute pour améliorer sa condition, mais de manière plus prosaïque pour entretenir et protéger ce que l’homme a su créer de plus merveilleux en ce monde. Les jardins. Ces petits havres de paix où l’on se sent en harmonie parfaite avec la nature, où l’on aime flâner dans l’histoire et le temps. Ce temps suspendu l’espace de quelques heures que l’on voudrait à jamais figé.

Une balade privée au cœur de Villarceaux à Chaussy. Du spontané au réfléchi, redécouvrir la nature sous son aspect sauvage et poétique tant qu’esthétique et géométrique. Mélanges parfaits qui s’accordent. Effleurer le fil ténu que tissent les statues entre le passé, le présent et l’avenir. Désir d’éternel, rêve immortel où l’infini bleu pose un délicat baiser sur la tête du vert de l’espoir et où toutes les couleurs chaudes de la terre semblent s’être donné le mot des retrouvailles.

Mieux que tous les bavardages, voici le reste en images.

 

Cliquer sur les photos pour les agrandir

 

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Consulter le site Internet du Domaine de Villarceaux

 

Commentaires

  1. Avatar de la pince

    Il faut parler des loutres, qui vivent en toute tranquilite dans ce magnifique espace preserve, avec les canards, les oies.

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